


Résumé des résultats
- B420 a entraîné une réduction significative de la masse grasse totale (–4,5 %) et du tour de taille (–2,4 cm).
- Une baisse spontanée de l’apport calorique d’environ 300 kcal/j a été observée.
- L’association avec des fibres prébiotiques a renforcé les effets sur :
- La satiété,
- La perméabilité intestinale (réduction de la zonuline),
- L’inflammation (diminution de la CRP ultrasensible). - Les études précliniques ont montré :
- Une amélioration de la sensibilité à l’insuline,
- Une réduction des endotoxines circulantes. - Conclusion : B420 est l’une des souches probiotiques les plus documentées pour la réduction de la masse grasse et le soutien de la santé intestinale et métabolique.
- Lactobacillus gasseri entraîne une diminution de la graisse abdominale d’environ 8 à 9 %
- Fibersol améliore la sensibilité à l’insuline et provoque une baisse de l’inflammation.
Efficacité clinique de la formule « Bio minceur B420 » et de ses probiotiques
B420
La souche Bifidobacterium animalis ssp. lactis 420 (B420) a été évaluée dans plusieurs études cliniques de haute qualité, notamment par Stenman et al., 2016 dans un essai multicentrique, randomisé, en double aveugle et contrôlé par placebo, impliquant 225 adultes en surpoids ou obèses pendant 6 mois. Les résultats montrent une réduction significative de la masse grasse totale de 4,5 % (soit environ 1,4 kg) chez les participants ayant reçu B420 associé à des fibres prébiotiques, par rapport au placebo.
Une diminution du tour de taille de 2,4 cm a également été observée. L’étude met en évidence une réduction de l'apport énergétique quotidien d’environ 300 kcal, suggérant un effet bénéfique sur la satiété.
De plus, une amélioration de la perméabilité intestinale (diminution de la zonuline) ainsi qu'une réduction des marqueurs inflammatoires (hs-CRP) ont été constatées.
(Source : Stenman LK et al., EBioMedicine, 2016 – lien vers l'étude).
Des études précliniques complémentaires montrent que B420 améliore la sensibilité à l'insuline, réduit l'inflammation tissulaire et diminue les niveaux circulants de lipopolysaccharides (LPS), des endotoxines associées à l'obésité et au diabète de type 2. De plus, l'association de B420 avec des fibres prébiotiques comme la polydextrose a permis de renforcer ces effets bénéfiques sur la composition corporelle et les marqueurs métaboliques (Source : DMS Journal).
Une revue de la littérature scientifique souligne que B420 est l'une des souches les plus documentées pour la gestion du poids et la santé métabolique, avec plus de 30 publications cliniques et 90 publications scientifiques au total (Source : Health Sciences IFF). Le Metagenics Institute a également publié une revue détaillée confirmant l’intérêt de B420 pour réduire la masse grasse corporelle, améliorer la barrière intestinale et soutenir la santé métabolique globale (Source : Metagenics Institute).
En conclusion, les données scientifiques démontrent que Bifidobacterium lactis B420 est particulièrement efficace pour favoriser la perte de masse grasse, renforcer la santé intestinale, réduire l’inflammation systémique et soutenir un métabolisme sain, faisant de cette souche un allié naturel précieux pour la gestion du poids et la prévention métabolique.
D’accord, voici une version continue, sans bullet points, qui reprend les résultats des études cliniques pour Lactobacillus gasseri, l’inuline (FOS) et Fibersol sur la perte de poids :
Lactobacillus gasseri
Plusieurs essais cliniques humains ont évalué l’impact de Lactobacillus gasseri sur la perte de poids. Kadooka et al. (2010) ont montré, dans un essai contrôlé de 12 semaines sur des adultes en surpoids, que la consommation d’un lait fermenté enrichi en L. gasseri SBT2055 entraînait une réduction significative de la graisse viscérale et sous-cutanée, de l’IMC et du tour de taille.
Une étude plus large menée en 2013 par la même équipe (210 participants) a confirmé ces résultats, avec une diminution de la graisse abdominale d’environ 8 à 9 % et une amélioration de l’IMC et de la masse grasse totale, bien que l’effet tende à s’atténuer après l’arrêt de la supplémentation.
D’autres travaux, notamment avec la souche BNR17 (Jung et al., 2013 ; Kim et al., 2018), ont également rapporté une réduction du tour de taille et de la graisse viscérale, parfois sans perte de poids globale marquée mais avec une amélioration ciblée de la composition corporelle. Enfin, des études animales, comme celle de Kang et al. (2013), confirment ces résultats en montrant une limitation du gain pondéral et une amélioration de l’oxydation des graisses chez des souris soumises à un régime hypercalorique.
Inuline (FOS)
Nicolucci et al. (2017) ont observé, chez 42 enfants en surpoids supplémentés 16 semaines avec 8 g/j d’inuline enrichie, une diminution de l’adiposité totale et abdominale ainsi qu’une amélioration du profil inflammatoire et lipidique.
Chez l’adulte, Guess et al. (2015) ont montré qu’une supplémentation de 15 g/j d’inuline chez des sujets prédiabétiques favorisait la poursuite de la perte de poids après un régime initial et réduisait la graisse hépatique et musculaire.
Dans le Food4Gut trial (Hiel et al., 2020), 16 g/j d’inuline pendant trois mois chez 150 adultes obèses suivant un régime hypocalorique ont permis une perte de poids plus importante que le placebo, avec une baisse de l’insulinémie. En revanche, une étude plus récente (Visuthranukul et al., 2022) sur 110 enfants obèses n’a pas montré de perte de poids supplémentaire par rapport au placebo, bien que la masse maigre ait été légèrement améliorée.
Fibersol (dextrine résistante)
Concernant Fibersol, les données cliniques suggèrent surtout un effet sur la satiété et, dans certains cas, une perte de poids modeste. Ye et al. (2015) ont montré que 10 g de Fibersol pris avec un repas retardent la réapparition de la faim et stimulent la sécrétion d’hormones de satiété comme le GLP-1 et le peptide YY. Un essai chinois (Li et al., 2010) mené sur 113 adultes en surpoids a démontré qu’une dose élevée de 34 g/j de Fibersol sur 12 semaines entraînait une perte de poids supplémentaire d’environ 1,5 kg par rapport au placebo.
Toutefois, d’autres études, comme celle d’Aliasgharzadeh et al. (2015) chez des femmes diabétiques, n’ont pas montré d’effet significatif sur le poids mais ont mis en évidence une amélioration de la sensibilité à l’insuline et une baisse de l’inflammation. Une méta-analyse de Mukai et al. (2017), regroupant plusieurs essais cliniques, conclut que Fibersol induit une perte de poids modeste mais significative (en moyenne –0,8 kg en 8 à 12 semaines, avec un effet plus marqué aux doses élevées et sur la graisse viscérale).
Des études animales, comme celle de Hu et al. (2020), confirment ces résultats en montrant une réduction de la prise de poids et de l’inflammation métabolique chez des souris soumises à un régime hypercalorique.


